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2 La citation qui "regonfle" !

  • VIDEO : témoignage d'une famille qui a adopté des dizaines d'enfants

    Un #témoignage d'une rare #humanité : une famille d'#adoption extraordinaire.

    Des dizaines d'enfants. Un accueil inconditionnel. Le handicap. Un amour qui dépasse tout.

    Jean-Pierre et Marie-Anne Kuhn.

    #handicap #charité #générosité #terredeshommes #couple

    Sur Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100011630074076

  • Discours du Pape Benoît XVI aux couples qui désirent un enfant - fév. 2012

    benoit-xvi-00002_m.jpgACADÉMIE POUR LA VIE :

    DISCOURS DE BENOÎT XVI

     

    Les souffrances des couples stériles

     

     

    ROME, lundi 27 février 2012 (ZENIT.org) – « L’Eglise prête une grande attention aux souffrances des couples stériles, se préoccupe d’eux et, justement pour cela, encourage la recherche médicale », explique Benoît XVI.

    Benoît XVI a en effet reçu samedi matin, 25 février, en la salle Clémentine du Palais apostolique du Vatican, les participants de la XVIIIe Assemblée générale de l’Académie pontificale pour la vie, qui avait pour thème "Diagnostic et thérapie de la stérilité".

    Le pape fait en même temps observer les conditions éthiques de lutte contre la stérilité : « Ne cédez jamais à la tentation de traiter le bien des personnes en le réduisant à un simple problème technique ! L’indifférence de la conscience par rapport au vrai et au bien représente une menace dangereuse pour le progrès scientifique authentique ».

    Discours de Benoît XVI

    Messieurs les cardinaux,

    Vénérés frères dans l’épiscopat et le sacerdoce,

    Chers frères et sœurs,

    Je suis heureux de vous rencontrer à l’occasion des travaux de la XVIIIe Assemblée générale de l’Académie pontificale pour la vie. Je vous salue et je vous remercie de votre généreux service pour défendre et favoriser la vie. Je remercie en particulier votre président, Mgr Ignacio Carrasco de Paula, pour les paroles qu’il m’a adressées en votre nom. La mise en route de vos travaux manifeste la confiance que l’Eglise a toujours placée dans les possibilités de la raison humaine et dans un travail scientifique rigoureusement conduit, tenant toujours à l’esprit l’aspect moral. Le thème que vous avez choisi cette année, "Diagnostic et thérapie de la stérilité", en plus d’avoir une importance humaine et sociale, possède une valeur scientifique particulière et exprime la possibilité concrète d’un dialogue fécond entre dimension éthique et recherche biomédicale. Devant le problème de la stérilité du couple, en effet, vous avez choisi de rappeler et considérer soigneusement la dimension morale, recherchant des voies pour une évaluation diagnostique juste et une thérapie qui corrige les causes de la stérilité. Cette approche procède du désir non seulement de donner un enfant au couple, mais de rendre aux époux leur fertilité et toute la dignité d’être responsables de leurs propres choix procréatifs, pour être des collaborateurs de Dieu dans la génération d’un nouvel être humain. La recherche d’un diagnostic et d’une thérapie représente l’approche qui est scientifiquement la plus juste pour la question de la stérilité, mais aussi celle qui est la plus respectueuse de l’humanité intégrale des sujets impliqués. En effet, l’union de l’homme et de la femme dans cette communauté d’amour et de vie qu’est le mariage, constitue l’unique "lieu" digne pour l’appel à l’existence d’un nouvel être humain, qui est toujours un don.

    Par conséquent, je désire encourager l’honnêteté intellectuelle de votre travail, expression d’une science qui garde éveillé son esprit de recherche de la vérité, au service du bien authentique de l’homme, et qui évite le risque d’être une pratique purement fonctionnelle. La dignité humaine et chrétienne de la procréation, en effet, ne consiste pas à être un "produit", mais repose sur son lien avec l’acte conjugal, expression de l’amour des époux, de leur union non seulement biologique, mais également spirituelle. L’Instruction Donum vitae nous rappelle, à ce sujet, que "par son intime structure, l’acte conjugal, unissant les époux d’un lien très profond, les rend aptes à la génération de nouvelles vies, selon les lois inscrites dans l’être même de l’homme et de la femme" (n. 126). Les légitimes aspirations à enfanter, du couple qui se trouve en état de stérilité, doivent par conséquent trouver, avec l’aide de la science, une réponse qui respecte pleinement leur dignité de personnes et d’époux. L’humilité et la précision avec lesquelles vous approfondissez ces problématiques méritent encouragement et soutien, à la différence de certains de vos collègues, entrainés par la fascination de la technologie de la fécondation artificielle. A l’occasion du Xe anniversaire de l’encyclique Fides et ratio, j’ai rappelé comment "le profit facile ou, pire encore, l’arrogance de se substituer au Créateur, jouent, parfois, un rôle déterminant. C’est une forme d’hybris de la raison, qui peut endosser des caractéristiques dangereuses pour l’humanité" (Discours aux participants du Congrès international de l’Université pontificale du Latran, 18 octobre 2008). En vérité, le scientisme et la logique du profit semblent aujourd’hui dominer le domaine de la stérilité et de la procréation humaine, tendant à entraver également de nombreux autres terrains de recherche.

    L’Eglise prête une grande attention aux souffrances des couples stériles, se préoccupe d’eux et, justement pour cela, encourage la recherche médicale. La science, cependant, n’est pas toujours en mesure de répondre aux désirs de tant de couples. Je voudrais, en ce sens, rappeler aux époux qui vivent la condition de la stérilité, que leur vocation matrimoniale n’en est pas pour autant amoindrie. Les conjoints, par leur vocation baptismale et matrimoniale, sont toujours appelés à collaborer avec Dieu à la création d’une nouvelle humanité. En effet, la vocation à l’amour est vocation au don de soi et ceci est une possibilité qu’aucune condition organique ne peut empêcher. Par conséquent, où la science ne trouve pas de réponse, la réponse qui donne la lumière vient du Christ.

    Je désire vous encourager, vous tous qui avez afflué pour ces journées d’étude et qui parfois travaillez dans un contexte médico-scientifique où la dimension de la vérité s’avère brouillée: poursuivez le chemin entrepris, d’une science intellectuellement honnête et pénétrée par la recherche continuelle du bien de l’homme. Dans votre parcours intellectuel, ne dédaignez pas le dialogue avec la foi. Je vous adresse l’appel exprimé dans l’encyclique Deus caritas est: "Pour pouvoir agir de manière droite, la raison doit constamment être purifiée, car son aveuglement éthique, découlant de la tentation de l’intérêt et du pouvoir qui l’éblouissent, est un danger qu’on ne peut jamais totalement éliminer. […] La foi permet à la raison de mieux accomplir sa tâche et de mieux voir ce qui lui est propre." (n. 28). En outre, c’est justement la matrice culturelle instaurée par le christianisme  – enracinée dans l’affirmation de l’existence de la vérité et de l’intelligibilité du réel à la lumière de la Vérité suprême – qui a rendu possible, dans l’Europe du Moyen Age, le développement du savoir scientifique moderne, savoir qui, dans les cultures précédentes, était restée seulement en germe.

    Illustres scientifiques, et vous tous membres de l’Académie, engagés à promouvoir la vie et la dignité de la personne humaine, gardez toujours présent à l’esprit, également, le rôle culturel fondamental que vous jouez dans la société et l’influence que vous avez pour former l’opinion publique. Mon prédécesseur, le bienheureux Jean-Paul II rappelait que les savants, "justement parce qu’ils savent davantage, sont appelés à servir davantage" (Discours à l’Académie pontificale des sciences, 11 novembre 2002). Les personnes ont confiance en vous qui servez la vie, ont confiance dans votre engagement à soutenir ceux qui ont besoin de réconfort et d’espérance. Ne cédez jamais à la tentation de traiter le bien des personnes en le réduisant à un simple problème technique ! L’indifférence de la conscience par rapport au vrai et au bien représente une menace dangereuse pour le progrès scientifique authentique.

    Je voudrais conclure en renouvelant le souhait que le Concile Vatican II adresse aux hommes de pensée et de science: "Bienheureux ceux qui, possédant la vérité, continuent à la chercher, pour la renouveler, l’approfondir, la donner aux autres" (Message aux hommes de pensée et de science, 8 décembre 1965). C’est avec ces augures que je vous donne, à vous tous ici et à ceux qui vous sont chers, ma bénédiction apostolique.

    © Libreria Editrice Vaticana - 2012

    Traduction de ZENIT, par Anne Kurian

  • La magnifique histoire de Samuel

     A3641.jpgSamuel, 1-24-28 ; 2, la

    Lorsque Samuel eut été sevré, Anne, sa mère, le conduisit à la maison du Seigneur, à Silo ; elle avait pris avec elle un taureau de trois ans, un sac de farine et une outre de vin. On offrit le taureau en sacrifice, et on présenta l'enfant au prêtre Eli. anne lui dit alors : "Ecoute-moi, mon seigneur, je t'en prie ! Aussi vrai que tu es vivant, je suis cette femme qui se tenait ici près de toi en priant le Seigneur. C'est pour obtenir cet enfant que je priais, et le Seigneur me l'a donné en réponse à ma demande. A mon tour je le donne au Seigneur; Il demeurera donné au Seigneur tous les jours de sa vie." Alors ils se prosternèrent devant le Seigneur, et Anne fit cette prière : 

     

    Cantique 1 Samuel 2, 1

     

    Dieu est la joie de mon coeur.

     

    Mon coeur exulte à cause du Seigneur : 

    mon front s'est relevé grâce à mon Dieu !

    Face à mes ennemis, s'ouvre ma bouche : 

    oui, je me réjouis de te victoire !

     

    L'arc des forts sera brisé, 

    mais le faible se revêt de vigueur.

    Les plus comblés s'embauchent pour du pain,

    et les affamés se reposent.

     

    Le Seigneur fait mourir et vivre ;

    il fait descendre à l'abîme et en ramène.

    Le Seigneur rend pauvre et riche ;

    il abaisse et il élève.

     

    De la poussière il relève le faible,

    il retire le pauvre de la cendre

    pour qu'il siège parmi les princes

    et reçoive un trône de gloire.  

  • Citations : espérance


    « 
    Les déceptions ne tuent pas et

    les espérances font vivre »

     

    George Sand (1804-1876), femme de lettres française

    Extrait du Marquis de Villemer

     

     

     « L'espérance est la plus grande et la plus difficile victoire qu'un homme puisse remporter sur son âme»

     

    Georges Bernanos (1888-1948), écrivain français

     Extrait de La liberté, pourquoi faire ?

     

      

    « L'espérance est un combat qui exige du cœur et de l'imagination»

     

    Jacques Chirac (1932) Président de la République française et père adoptif d’une jeune chinoise.

           Extrait d'Une nouvelle France. 


     

            « Dieu est toujours dans le camp de ceux qui souffrent »

     

    Jean-Paul II, pape

    Extrait d’Entrez dans l'espérance

     

     

     « N'ayez pas peur !" De quoi faut-il ne pas avoir peur? Avant tout de faire la vérité sur nous-mêmes ».

     

     

    Jean-Paul II, pape

    Extrait d’Entrez dans l'espérance

     

  • C'est la Sainte Vierge qui le dit

    « Je donnerai du bonheur dans les familles. »

     

    « Oui, je suis votre Maman du Ciel. »

     

     

     Paroles de la Sainte Vierge à l'Ile Bouchard (Touraine) en 1947, lors d'une apparition à 4 petites filles.

     

     

     

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